Craig
Ewert, un citoyen britannique, souffrait d'une maladie neurologique
dégénérative. Le 26 septembre 2006, il décidait de se rendre dans une
clinique Suisse pour avoir recours, via l'association Dignitas,
au suicide médicalement assisté. Il acceptait alors d'être filmé et le
documentaire a été diffusé hier soir sur la chaîne Sky TV en
prime-time.
Dans ce
film, on voit Craig Evert absorber un puissant sédatif avec une paille.
Puis il mord sur un interrupteur, programmé pour interrompre, trois
quarts d'heure plus tard, sa respiration assistée. Puis il se tourne
vers sa femme et échange avec elle quelques mots.
Ce reportage a entraîné de
nombreuses réactions."Dans quelle société vivons-nous si la mort d'un
homme est diffusée par une télévision en prime-time comme un
divertissement", s'interroge le Daily Mail. Pour Dominica
Roberts, de la Pro-Life Alliance c'est "triste parce que tous
les suicides sont tristes. Dangereux parce que ça peut avoir des effets
d'entraînement". Enfin, pour Phyllis Bowman, de Right to Life,
ce documentaire n'est que "de la promotion pour le suicide assisté" :
" Imaginons l'effet qu'il aura sur une personne dépressive..."
Ewert, un citoyen britannique, souffrait d'une maladie neurologique
dégénérative. Le 26 septembre 2006, il décidait de se rendre dans une
clinique Suisse pour avoir recours, via l'association Dignitas,
au suicide médicalement assisté. Il acceptait alors d'être filmé et le
documentaire a été diffusé hier soir sur la chaîne Sky TV en
prime-time.
Dans ce
film, on voit Craig Evert absorber un puissant sédatif avec une paille.
Puis il mord sur un interrupteur, programmé pour interrompre, trois
quarts d'heure plus tard, sa respiration assistée. Puis il se tourne
vers sa femme et échange avec elle quelques mots.
Ce reportage a entraîné de
nombreuses réactions."Dans quelle société vivons-nous si la mort d'un
homme est diffusée par une télévision en prime-time comme un
divertissement", s'interroge le Daily Mail. Pour Dominica
Roberts, de la Pro-Life Alliance c'est "triste parce que tous
les suicides sont tristes. Dangereux parce que ça peut avoir des effets
d'entraînement". Enfin, pour Phyllis Bowman, de Right to Life,
ce documentaire n'est que "de la promotion pour le suicide assisté" :
" Imaginons l'effet qu'il aura sur une personne dépressive..."
De son côté, la chaîne de
télévision Sky Real Lives argumente sur la nécessité de nourrir
le débat sur le suicide assisté.
télévision Sky Real Lives argumente sur la nécessité de nourrir
le débat sur le suicide assisté.
Hier, Gordon Brown a expliqué
qu'il ne reviendrait pas sur la loi interdisant le suicide assisté.
qu'il ne reviendrait pas sur la loi interdisant le suicide assisté.